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Johann SEKINGER  commence le saxophone en 1991, au CMA à Bordeaux, après avoir débuté la musique au conservatoire de Troyes en classe de Vilolon. Depuis, il ne cesse de jouer et d'enrichir son jeu avec des musiciens de tous bords, en tous lieux, et dans divers styles de musique : de la variété au jazz, en passant par le rock et les musiques du monde.

 

S'il se produit avec bonheur dans des festivals tels que Jazz à la base (base Sous-Marine de Bordeaux), les 24h du swing à Montségur, Jazz Pourpre à Bergerac ou le festival de jazz de Saint-Emilion, il aime aussi aller à la rencontre des passants dans les espaces publics pour partager la musique avec générosité.

il travaille en ce moment sur différents projets musicaux, et donne des cours de saxophone à l'école des arts de Tonneins.

Certains diront de lui que c'est un tendre de l'anche, et qu'il aime jongler avec les notes et les émotions.

Très tôt, Eddie découvre que la musique peut être un moyen d’expression puissant et une manière profonde de vivre ses émotions. C'est par l'accordéon qu'il entame son cursus musical, musette puis classique, aux côtés notamment de Bruno Maurice (André Minvielle, trio Myazaki, Jacques Di Donato).
A 14 ans, son attirance vers le blues et le rock le pousse vers la guitare électrique. Il découvre rapidement la musique de Django Reinhardt et le jazz manouche qu’il explorera notamment en jouant dans la rue.
C’est à 17 ans qu’il découvre le jazz bebop & moderne et décide de s’inscrire au conservatoire de Bordeaux. Il y étudiera auprès de Rija Randrianavosoa (Danyel Waro, Lalatiana, Malagasy Guitar Masters) jusqu’à la conclusion de ses études musicales en 2017.

Ses influences ont donc été nombreuses et le mènent aujourd'hui vers un jeu métissé, ouvert à la rencontre des différentes cultures musicales. Il explore notamment les sonorités du moyen orient, de manière à être au plus juste de son intériorité et à renouer avec ses racines libanaises.

Eddie se consacre actuellement à trois projets : L’ensemble Elvoko, au service de l’imaginaire, qui tend à retranscrire les sons du monde par une approche de l’improvisation en lien avec la sensibilité impressionniste (avec Alexandre Aguilera, flûte). Jaza2 (avec Johann Sekinger, saxophone) qui interprète librement des compositions personnelles et des standards avec profondeur et sensibilité. Et enfin le Eddie Dhaini solo, travail plastique du son acoustique et électrique, qui ouvre généreusement un espace d’immersion dans un cortège d’émotions et de paysages.

Eddie est en perpétuel cheminement, dans une démarche de recherche et de décloisonnement. Ces expérimentations l’amènent à composer et interpréter des créations sonores, dans le cadre de lectures en musique avec Samuel Jaudon, voix, et Alex Le Gal, violon (notamment au Village d’Art Préludien Chez Chomo, 77) ; à créer pour le long métrage Closure réalisé par Hicham Kadiri (69) ; à participer à l’album chiff chaff de Loïc Guenneguez (musique Irlandaise, 33) ou encore à des performances type Live music & painting avec Cadijo, Stéphane Cattaneo et Yves Cairoli (US).

Il est engagé aux côtés de Cadijo, harmoniciste blues, qu’il a accompagné en tournée en Arizona dans le cadre du « voilà tour 2018 » ; le Flora Estel Swingtet, groupe de swing avec qui Eddie a enregistré plusieurs albums depuis 2014 ; Elodie Alice, Pascal Lamige et nombre d'autres artistes de la scène bordelaise.
Il s'est également produit sur de nombreux festivals : Festival jazz de saint Emilion (33) ; festival de Sanguinet  (40); festival jazz pourpre (24), festival de Montignac (24), Jazz à Puymirol (47), Jazz 360-le off (33)…


 

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